vendredi 17 avril 2015

Les chutes de Montmorency



Alors non, Montmorency n'est pas mon deuxième prénom polonais ascendance yougoslave. (qu'est-ce-qu'elle diiiit ?)
Je vous parle bien de chutes d'eau, et non de mes lamentables vol planés dans les escaliers (j'ai actuellement un pouce et 2-3 vertèbres en moins)

La particularité des chutes de Montmorency, ci ce n'est leurs 83 mètres de hauteur, soit 30 mètres de plus que les chutes du Niagara (bim!), c'est qu'en hiver, un dôme se forme sous les embruns.



Il y a bien des années, ils avaient même construit un bar. Dedans.

Il y a quand même un truc surprenant quand tu te pointes ici en hiver : les chutes ont disparu. JE TE JURE la rivière n'est plus là. Je veux dire, le pont est là, la forêt au bord de laquelle tu t'es baignée l'été est là.... Mais l'eau ?

Petit moment de flottement quand, persuadée que je savais où j'allais, j'explique à Thalia que, normalement, l'eau, enfin, la rivière, enfin, les chutes gigantesques, elles sont là... AH SI! Ca s'expulse de sous des litres de neige glacée, comme un gros soupir irrépressible.



Oui, c'est bien moi, ce furby.

 


En comparaison, je vous montre ce que ça donnait en août ?

En été, des centaines d'arc-en-ciel se forment au pied des chutes, tu marches littéralement dans les prismes multicolores. Tu es trempé, hein, mais que c'est joli !

En amont des chutes, il y a les roches plates, où l'on peut facilement se baigner :)

Comprenez :  quand il fait pas -30.

Un p'tit côté Au détour de la rivière, nan ?


Votre Pocahontas nationale vous embrasse crissement fort!

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