mercredi 4 mars 2015

Harlem



Je vous avais parlé de la lumière de NYC les copains? C'est quelque chose de très doux, une lumière rasante et chaude sur le bitume des villes.


Pour la deuxième partie de la semaine, nous étions logées en coachsurfing, chez l'adorable Alex. Le sourire le plus sexy d'Harlem et de la gentillesse en intraveineuse.
The sexiest smile in Harlem, and an intravenous shot of pure kindness. Thank you so much Alex :)

Entrer chez Alex, c'est un peu comme entrer dans un cat café : des petites bêtes poilues te grimpent dessus, pour toujours et à jamais. Impossible à décoller. Elles te suivent même dans la douche (oui oui je t'assure).



Harlem, c'est grand, c'est hétéroclite, c'est beau, parfois, même. Je vous montre un p'tit bout du quartier, donc. 

Avis aux amateurs, nous voici au temple du gras. Le plat national, ici, c'est poulet frit-gaufre. Ensemble.
Avec du beurre.


Ici chez Amy's Ruth, une institution du cholestérol.
On a 10L de gras dans le sang on est contents.




C'est aussi le berceau de la musique noire américaine, bien que je sois la seule sauterelle du groupe à frétiller joyeusement face à L'Apollo Theater, que les autres incultes ont royalement ignorés - ils n'ont même pas capté qu'on était passé devant par pur hasard. LA seule photo du lieu donc, en exclusivité pour vous mes braves.



Je vous jure qu'on s'est battues pour assister à une messe Gospel d'ailleurs. Mais après une séance TV (yavait plus de place dans l'église, ils nous ont calées devant un écran), une ou deux portes closes et un amas de touristes en grappe, on s'est rendues à l'évidence. Dieu nous posait un lapin. Bas les pattes sur mes bancs de prières, mes jolies, faites une croix sur les chapelets. Nos Amen oubliés dans l'antichambre, on allait pas foutre en l'air ce début d'année...






J'arrête les sacres (comme on dit ici) et vous envoie des baisers.
Ciao !


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